La start-up française OZO complète sa gamme d'un nouveau moteur axe traversant et permet ainsi à 100% des vélos de rouler à l'électricité

06/06/2019 à 10h50

Grâce à une collaboration avec le fabricant de moteur crystalyte, OZO permet aux vélos type VTT de nouvelle génération de s'électrifier

Jusqu’à aujourd’hui, OZO permettait à 95 % des vélos du marché de devenir électrique

Depuis sa création il y a 9 ans, OZO a cherché sans relâche des solutions pour satisfaire les demandes de clients souhaitant électrifier leur vélo plutôt que d’en acheter un neuf. Au fur et à mesure des années, les deux ingénieurs et créateurs de cette PME aixoise ont complété leur gamme pour répondre à des défis techniques de plus en plus pointus. Le dernier d’entre eux consistait à proposer un moteur roue pour équiper les vélos dotés d’un axe traversant généralement retrouvé sur les VTT de dernière génération. C’est à présent chose faite avec ces moteurs spécialement mis au point pour équiper des roues avec axes traversant 12 X 148 mm  ou 12 X 142 mm  qui permettent d’atteindre 100% de taux de compatibilité.

Installation rapide, facile et réversible

L’un des aspects privilégié par OZO dans cette recherche technique, résidait dans la simplicité d’installation. Ces moteurs ultra fiables et puissants s’installent et se désinstallent en 5 minutes chronos. Ce qui permet finalement au vélo de devenir un vélo 2-en-1, hybride.

Une exclusivité mondiale et européenne

En s’associant avec crystalyte, l’un des constructeurs pionnier des moteurs électriques pour vélos, OZO a négocié une exclusivité européenne pour le modèle TC 3080 et mondiale pour le modèle TC 2540. La startup leader de la vente de kits devrait ainsi encore creuser l’écart avec ses challengers.

Une complétude qui les conforte dans leur volonté de ne pas proposer de VAE neufs afin de limiter l’empreinte carbone liée à leur activité

Conscients des enjeux environnementaux liés à ce besoin d’équipement, OZO a toujours privilégié la recherche de solutions pour optimiser au maximum l’empreinte carbone des déplacements en VAE. Ainsi, en permettant d’électrifier n’importe quel vélo existant, plutôt que d’en proposer un neuf, OZO estime que l’empreinte carbone est divisée par deux au minimum.

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